Avec quelles maladies les profanes confondent-ils souvent l'AVC ?

L'accident vasculaire cérébral (AVC) ressemble également à d'autres maladies par certains aspects. Lesquels sont les plus fréquents ?

Vous vous êtes réveillé le matin avec un engourdissement de la moitié du corps ou d'un membre supérieur ? Vous avez peut-être mal dormi.
Avez-vous une gueule de bois, des maux de tête, des vertiges et des vomissements ? Qui n'en a pas ?
Vous souffrez de tétanie d'hyperventilation ou de syndrome tétanique et vos membres supérieurs et vos lèvres picotent lorsque vous vous agitez ? Ne vous inquiétez pas, vous n'êtes certainement pas victime d'un accident vasculaire cérébral.
Si vous avez un parent âgé atteint de démence qui est désorienté à la maison, il s'agit d'un état normal compte tenu de son diagnostic.

Ces maladies et bien d'autres encore peuvent présenter des caractéristiques similaires à celles d'un accident vasculaire cérébral, voire exactement identiques.

La différence réside dans les autres symptômes typiques de la maladie en question et dans l'absence de symptômes. Ce qui a précédé l'affection (activité physique, blessure, sommeil, agitation) est également important.

Intéressant : le syndrome du samedi soir est souvent confondu avec un accident vasculaire cérébral. Il s'agit d'un raidissement d'un membre supérieur dû à une pression prolongée, par exemple à la suite d'un effort excessif. Le nom du syndrome vient de là, car les hommes ont souvent une femme couchée sur leur épaule :-)

Une maladie ressemblant à un accident vasculaire cérébral, typique de la vieillesse

Les personnes âgées souffrent d'un certain nombre de maladies dues à leur âge. Un patient présentant de nombreux diagnostics est appelé patient polymorbide. En plus de ses diagnostics sous-jacents, un patient polymorbide est plus exposé au risque d'en développer de nouveaux.

Le corps, les organes et les vaisseaux sanguins des personnes âgées sont plus usés et plus faibles. Cette catégorie de patients est donc plus exposée au risque d'accident vasculaire cérébral (AVC), mais aussi à d'autres maladies qui peuvent y ressembler. Lesquelles sont les plus courantes ?

Déshydratation et troubles de la conscience

Chez les femmes, l'eau représente 50 % du poids total du corps, chez les hommes jusqu'à 60 %. La majeure partie (jusqu'à 60 %) se trouve à l'intérieur des cellules (espace intracellulaire), les 40 % restants se trouvant dans leur environnement (espace extracellulaire).

Du point de vue du pourcentage, il est clair que l'eau fait partie de nous et qu'elle est importante pour le fonctionnement normal de l'environnement interne (homéostasie) et pour la vie.

Un apport hydrique insuffisant se traduit par une réduction du volume corporel total. Lorsque l'on néglige chroniquement de boire, il se produit un équilibre négatif de l'eau dans le corps. Cet état s'appelle la déshydratation.

La déshydratation survient le plus souvent chez les jeunes enfants en cas de diarrhée et de vomissements persistants, mais aussi à tous les âges pendant les mois d'été, en particulier chez les personnes âgées qui perdent la sensation de soif.

Dans certains cas, l'apport quotidien en liquide d'une personne âgée est d'une tasse de thé, ce qui est très peu. Avec un tel apport quotidien, la déshydratation de l'organisme se produit très rapidement.

Tableau des différences fondamentales entre la déshydratation et l'accident vasculaire cérébral :

Symptômes de base de la déshydratation	Différences entre les symptômes de la déshydratation et ceux de l'accident vasculaire cérébral
Apparition progressive d'une faiblesse au fil des jours, des semaines ou des mois nausées légères, puis vomissements au fur et à mesure de l'évolution de la maladie pâleur du visage, sécheresse de la peau et des muqueuses hypotension artérielle, vertiges, flashs devant les yeux faiblesse générale des membres inférieurs et supérieurs dans la même mesure troubles de l'élocution (dysarthrie) désorientation, confusion, agressivité somnolence excessive, perte de conscience, voire décès	apparition soudaine d'une faiblesse en l'espace de quelques heures ou de quelques jours apparition soudaine de nausées, d'efforts pour vomir, de vomissements massifs pâleur soudaine du visage, sueurs froides hypotension artérielle entraînant des vertiges et divers troubles de la vue faiblesse unilatérale des membres supérieurs et inférieurs discours inintelligible (dysarthrie, aphasie) désorientation, confusion, agressivité somnolence excessive, perte de connaissance, décès
Traitement de la déshydratation	Traitement de l'accident vasculaire cérébral
Apport adéquat de liquide (jamais intermittent) l'état s'améliore progressivement - ne pas s'attendre à un effet rapide	appeler immédiatement les services d'urgence si des signes d'accident vasculaire cérébral sont détectés répondez calmement aux questions de l'opérateur, votre diagnostic peut être erroné.

États fébriles, surchauffe

On considère qu'une température corporelle normale se situe entre 36,0 et 36,9 °C.

L'état fébrile est dû à une infection d'un organe ou du corps (bactéries, virus, champignons, parasites). La surchauffe survient lorsque le corps est exposé à des températures élevées pendant une longue période (infections, coups de soleil, insolations).

Lorsque le corps est surchauffé par une température élevée, de la fièvre ou une surchauffe complète, la personne transpire excessivement, perdant de l'eau et des minéraux. Peu importe qu'il s'agisse d'une infection, d'une brûlure avec une réaction inflammatoire du corps ou d'une surchauffe au soleil. Cet état s'accompagne toujours d'inappétence et de vomissements.

Les vomissements provoquent également une perte excessive de liquide et une déshydratation.

Tableau des différences fondamentales entre la fébrilité et l'accident vasculaire cérébral

Manifestations de base d'une maladie fébrile et d'une surchauffe	Différences entre les symptômes d'une maladie fébrile et d'une surchauffe et ceux d'un accident vasculaire cérébral
Apparition progressive d'une faiblesse sur plusieurs jours, semaines ou mois Augmentation de la température, fébrilité, symptômes grippaux (nez plein) nausées associées, vomissements, parfois massifs et au premier plan visage rouge et chaud, sécheresse de la peau et des muqueuses, transpiration excessive, frissons hypotension artérielle, entraînant des vertiges, des troubles de la vision faiblesse générale des membres inférieurs et supérieurs dans la même mesure maux de tête, douleurs musculaires et articulaires dans tout le corps discours inintelligible uniquement en cas de fièvres élevées et prolongées, déshydratation désorientation, confusion, délire somnolence excessive, même pendant la journée (décès uniquement en cas d'infections graves - méningite)	apparition soudaine d'une faiblesse dans les heures ou les jours qui suivent la température corporelle est normale (une fébrilité peut être présente dans d'autres infections concomitantes) apparition soudaine de nausées, d'efforts pour vomir, de vomissements massifs pâleur soudaine du visage, sueurs froides, gouttes sur le front hypotension artérielle, vertiges consécutifs, troubles visuels divers faiblesse unilatérale des membres supérieurs et inférieurs maux de tête, y compris dans le cou en cas d'hémorragie troubles graves de l'élocution - dysarthrie, aphasie, bégaiement désorientation, confusion, agressivité somnolence excessive, perte de conscience, décès
Traitement de l'état fébrile et de la surchauffe	Traitement des accidents vasculaires cérébraux
en cas de températures supérieures à 38 °C, refroidissement du corps par des enveloppements, des douches tièdes pour des températures supérieures à 38 °C, après refroidissement, réduction de la température à l'aide de médicaments (pas en cas d'insolation) repos au lit, activité physique minimale consommation suffisante de liquide (jamais par à-coups, par cuillerées en cas de vomissements) l'état s'améliore progressivement - ne pas s'attendre à un effet rapide	appeler l'ambulance en cas de signes d'attaque cérébrale répondez calmement aux questions de l'opérateur, car il se peut que votre diagnostic ait été erroné.

Démence et désorientation

Ladémence ou l'état démentiel se manifeste principalement chez les personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson, mais elle peut aussi survenir à un jeune âge.

La démence est un affaiblissement des facultés rationnelles qui s'aggrave avec l'âge. Les symptômes peuvent être atténués dans une certaine mesure, mais il n'y a pas de remède, pas plus qu'il n'y a de remède à l'immortalité.

Certaines personnes confondent très souvent la démence avec un accident vasculaire cérébral, précisément en raison de la désorientation, de la non-reconnaissance des proches, des hallucinations et d'autres manifestations. Même un patient qui prend régulièrement des médicaments peut avoir une telle crise de temps à autre.

À moins que vous ne donniez des médicaments à votre parent atteint de démence et que vous ne les lui administriez directement dans la bouche, il est probable qu'il ne les prenne pas lui-même.

C'est l'absence de prise de médicaments pour contrôler des symptômes tels que la désorientation ou l'agressivité qui peut nous prendre par surprise.

Tableau des différences fondamentales entre la démence et l'accident vasculaire cérébral :

Symptômes de base de la démence	Différences entre les symptômes de la démence et ceux de l'AVC
Diagnostic d'antécédents de démence détérioration des fonctions cognitives sur une longue période avec l'âge désorientation apparaissant progressivement ou soudainement, de manière répétée et dans le passé agitation psychomotrice, confusion, hallucinations, agressivité insomnie, réveils nocturnes, rages nocturnes	il peut y avoir des antécédents de démence les fonctions cognitives étaient bonnes jusqu'à présent apparition soudaine d'une désorientation, avec une conscience lucide dans le passé agitation psychomotrice, surtout en cas d'hémorragie, confusion, agressivité la somnolence prédomine et évolue vers des troubles de la conscience.
Traitement de la démence	Traitement de l'accident vasculaire cérébral
superviser l'utilisation des médicaments chez un tel patient repos au lit, activité physique minimale apport suffisant de liquide la maladie est incurable, les symptômes sont supprimés, elle progresse avec l'âge malgré le traitement	appeler le service d'ambulance lorsque des signes d'accident vasculaire cérébral sont détectés répondez calmement aux questions de l'opérateur, votre diagnostic était peut-être erroné.

Une maladie imitant l'AVC, typique des personnes plus jeunes

Chez les personnes âgées, mais aussi chez les plus jeunes, il existe des maladies qui peuvent faire croire à tort que l'on a fait un accident vasculaire cérébral.

La plupart de ces maladies ne sont pas très graves, parfois même anodines, mais la façon dont certains individus les vivent est catastrophique, voire ridicule.

La tétanie d'hyperventilation donne l'impression de diverses maladies

Latétanie d 'hyperventilation peut aussi être appelée "la maladie des temps modernes". Autrefois, elle existait aussi. Mais ces personnes (surtout des femmes) étaient alors qualifiées d'hystériques. C'est vrai dans une large mesure.

La tétanie d'hyperventilation est avant tout une affection psychologique, toujours précédée d'un état psychologique tel que l'agitation, la dispute, la colère, le stress, la peur, la maladie, les vomissements, l'effort physique.

Le sujet se met inconsciemment à respirer plus rapidement à la suite d'un mécanisme déclencheur. C'est ce qu'on appelle l'hyperventilation. En conséquence, il expire beaucoup de dioxyde de carbone présent dans le sang.

Ce phénomène provoque d'abord des fourmillements dans les membres supérieurs, éventuellement dans la bouche et la tête, ce qui peut entraîner des difficultés d'élocution. Au fur et à mesure que la maladie évolue, les membres inférieurs se mettent également à fourmiller. Peu à peu, les fourmillements évoluent vers des convulsions et des torsions des bras et des jambes, et le patient se sent faible.

Le patient se sent faible. Il s'effondre très souvent, mais ne perd jamais connaissance. Et le pire, c'est que peu de gens l'admettent. Ces personnes attribuent des proportions gigantesques à leur souffrance.

Intéressant : la tétanie d'hyperventilation est une cause fréquente d'appels d'urgence et de recours aux ambulances. Pourtant, la tétanie d'hyperventilation ne met jamais la vie du patient en danger. Il s'agit d'un état psychologique qui disparaît spontanément et sans aucun traitement lorsque le patient se calme et ralentit sa respiration. La raison pour laquelle les ambulances se présentent pour ces états est l'ignorance et la panique de l'entourage.

Tableau des différences fondamentales entre l'hyperventilation et l'accident vasculaire cérébral :

Manifestations de base de l'hyperventilation	Différences entre les symptômes de l'hyperventilation et ceux de l'AVC
L'état est précédé d'une agitation, d'une dispute, d'un stress, d'une peur, d'une tristesse. le patient respire objectivement rapidement et superficiellement sensation subjective d'étouffement en peu de temps, les membres supérieurs du patient commencent à se contracter dialyse des membres supérieurs vertiges, sensation d'évanouissement effondrement sans blessure - le patient hystérique "s'allonge" pour ne pas se blesser après avoir ralenti la respiration et éliminé le facteur de stress, l'état s'améliore	l'état est rarement précédé d'agitation, de stress, de peur le patient respire normalement pas de difficultés respiratoires le patient affaiblit une moitié du corps pas de dialyse des membres supérieurs vertiges, sensation de faiblesse effondrement en cas de blessure, rarement en cas d'altération de la conscience l'état ne s'améliore pas spontanément
Traitement de l'hyperventilation	Traitement de l'accident vasculaire cérébral
Élimination du facteur de stress calmer le patient ralentir la respiration prendre des médicaments pour se calmer consulter un médecin généraliste, un neurologue et, dans les cas les plus graves, un psychiatre	appeler les services d'urgence lorsque des signes d'AVC sont détectés répondre calmement aux questions de l'opérateur, car votre diagnostic était peut-être erroné.

Les paresthésies, les maux de tête et les vertiges sont également présents dans les troubles de la colonne vertébrale.

Qui a aujourd'hui une belle colonne vertébrale bien droite ? Qui n'a jamais eu de douleurs dorsales ou de tremblements des mains ou des pieds à la suite d'une maladie ou d'une congestion de la colonne vertébrale ? Si une telle personne existe, je l'envie déjà.

Partout dans le monde, les gens sont fatigués et épuisés par leur travail quotidien. La plupart des gens travaillent 5 jours par semaine et certains même le week-end. La première chose à en faire les frais est bien sûr la colonne vertébrale.

Les douleurs dans la partie affectée du dos ne sont pas rares. Elles sont fréquentes, voire banales dans certaines professions. Si vous n'avez pas encore de problèmes de dos, essayez de penser à votre profession. Vous faites des efforts, vous soulevez des charges lourdes, vous avez un travail paradoxalement sédentaire... Sachez que vous êtes sur la liste.

Les lésions de la colonne vertébrale ne se manifestent pas forcément uniquement par des douleurs dans une partie particulière. Lorsque la colonne cervicale est touchée, il y a souvent des vertiges importants accompagnés de maux de tête, de douleurs cervicales, de nausées et de vomissements. La partie thoracique a tendance à provoquer des fourmillements dans un ou même les deux membres supérieurs. Les parties lombaire et sacrée provoquent des fourmillements et des faiblesses dans les membres inférieurs.

Tableau des différences fondamentales entre les troubles de la colonne vertébrale et les accidents vasculaires cérébraux :

Manifestations de base des maladies de la colonne vertébrale	Différences entre les symptômes des maladies de la colonne vertébrale et ceux des accidents vasculaires cérébraux
L'affection est précédée d'une tension de la colonne vertébrale qui se manifeste de différentes manières Douleur à la tête et au cou (intensité légère à modérée) vertiges, sensation d'évanouissement, sans trouble de la conscience douleurs thoraciques, lombaires ou sacrées fourmillements principalement dans un membre supérieur ou inférieur, plus rarement dans les deux douleur irradiant vers le membre supérieur ou inférieur la douleur et les picotements dépendent de la position et du mouvement les picotements peuvent être soulagés par un massage	l'affection est rarement précédée d'une congestion de la colonne vertébrale maux de tête et, en cas d'hémorragie, douleurs cervicales (intensité modérée à sévère) vertiges, sensation d'évanouissement, possibilité de troubles de la conscience absence de douleur thoracique, lombaire ou sacrée tremblements des membres supérieurs et inférieurs sur une moitié du corps pas de douleur irradiant vers les membres supérieurs ou inférieurs les picotements sont constants, quels que soient la position et le mouvement les fourmillements ne peuvent pas être soulagés, ils sont immobiles.
Traitement des troubles de la colonne vertébrale	Traitement des accidents vasculaires cérébraux
Élimination du facteur déclenchant mode de repos vérification auprès d'un médecin généraliste, d'un neurologue aides orthopédiques (corsets, colliers cervicaux) utilisation d'analgésiques et de médicaments pour détendre les muscles raides utilisation de médicaments contre les vertiges et les vomissements massage, rééducation injections autres options de traitement de l'affection solutions chirurgicales	appeler les services d'urgence en cas de signes d'AVC répondre calmement aux questions de l'opérateur, car votre diagnostic était peut-être erroné.

Maux de tête et migraines

En cas d'AVC hémorragique, un symptôme caractéristique est un mal de tête soudain. Mais cela ne signifie pas qu'à chaque fois que nous avons mal à la tête, nous pensons que nous avons une hémorragie cérébrale. Il est impensable que chaque mal de tête soit pris en charge par le service d'ambulance et envoyé pour un scanner.

Dans le cas des maux de tête, il faut réfléchir un peu et rechercher les causes possibles, qui sont des milliers. Tous les maux de tête ne sont pas automatiquement causés par une maladie grave ou mortelle.

Lemal de tête qui accompagne un accident vasculaire cérébral ne se développe jamais progressivement. Il survient soudainement, de manière inattendue, et est souvent d'une forte intensité. D'autres symptômes de l'accident vasculaire cérébral, tels que des troubles de l'élocution ou une faiblesse unilatérale, sont présents en même temps que la douleur. Il n'y a pas de traumatisme dans les antécédents du patient, mais dans le cas de maladies chroniques telles que la migraine, la douleur est différente, atypique, et inattendue.

Les personnes appellent le plus souvent le service d'urgence lorsqu'elles (tableau)

Causes des maux de tête	Différence par rapport à l'AVC	Premiers soins
Maux de tête liés à l'hypertension artérielle	la douleur apparaît progressivement s'intensifie la douleur est diffuse ou unilatérale une pression artérielle élevée est mesurée présence de vertiges nausées présentes vomissements palpitations fréquentes parfois des picotements dans la tête, les mains absence d'autres signes d'accident vasculaire cérébral	prise de médicaments pour la tension artérielle prise de tensiomine sous la langue repos au lit consommation de liquide
maux de tête en cas d'hypotension et de déshydratation	la douleur apparaît progressivement est d'intensité légère à modérée la douleur est diffuse, sans localisation précise mesure de l'hypotension artérielle présence de vertiges, en particulier lors des changements de position nausées, parfois vomissements faiblesse générale, malaise somnolence excessive pâleur du visage, sécheresse de la peau et des muqueuses absence d'autres symptômes	consommation de liquide repos au lit
maux de tête lors d'une grippe ou d'une autre affection associée à une augmentation de la température corporelle	la douleur apparaît progressivement la douleur est diffuse et constante douleur musculaire, articulaire ou corporelle tension artérielle normale ou basse température corporelle plus élevée	consommation de liquide repos au lit traitement de la température par refroidissement antipyrétiques antibiotiques, antiviraux
maux de tête associés à des problèmes de la colonne cervicale	antécédents de problèmes du rachis cervical profession à risque contraintes antérieures sur la colonne cervicale maux de tête précédant des douleurs cervicales raideur de la nuque problème de mobilité de la colonne cervicale changement d'intensité en fonction des mouvements du cou fourmillements dans un ou les deux membres supérieurs douleur dans un ou les deux membres supérieurs nausées, vomissements	ne pas forcer sur le cou analgésie consommation de liquide chaleur sèche massage par un spécialiste électrothérapie traitement par un neurologue chirurgie
maux de tête en cas de stress, de manque de sommeil et de fatigue	les périodes stressantes de la période prénatale manque de sommeil chronique sensation de fatigue faiblesse générale vertiges, brouillard devant les yeux état d'effondrement maux de tête d'intensité légère à modérée nausées pâleur du visage cercles sous les yeux troubles de la concentration manque de concentration	évitement du stress vacances dormir suffisamment boire beaucoup alimentation équilibrée se détendre traitement médicamenteux de l'insomnie
migraines	antécédents de migraine début, intensité et durée typiques de la douleur mal de tête unilatéral, lancinant et sévère augmentation de l'intensité en cas de mouvement sensation de tête légère nausées, vomissements pâleur du visage faiblesse générale, malaise	utilisation de médicaments contre la migraine utilisation de médicaments contre les vomissements repos au lit rester dans une pièce sombre recherche d'un médecin
maux de tête post-traumatiques	l'état précède la blessure troubles de la conscience parfois de courte durée amnésie rétrograde douleur localisée au site de la blessure maux de tête espacés de quelques heures à quelques jours nausées, vomissements désorientation troubles de la conscience, perte de connaissance	appeler les services d'urgence : mécanisme grave chute d'une charge sur la tête accidents de la circulation chutes de hauteur chutes en profondeur perte de conscience après un accident troubles de la conscience après un accident demander de l'aide : blessures plus banales pleine conscience du patient nausées, vomissements après un traumatisme prise de médicaments pour soulager la douleur : après des blessures banales seulement après un examen à l'hôpital après une radiographie ou un scanner
maux de tête liés à l'alcool	la douleur survient après la consommation d'alcool la douleur apparaît le lendemain de la consommation d'alcool la douleur est diffuse, éventuellement unilatérale la douleur est d'intensité modérée nausées, vomissements faiblesse générale vertiges, troubles de la concentration	repos au lit consommation de liquides apport en minéraux air frais médicaments contre la douleur beaucoup de sommeil absence d'alcool

Autres maladies ressemblant à un accident vasculaire cérébral

Les affections, syndromes et maladies décrits ci-dessus ne représentent qu'une fraction des nombreuses maladies dont la symptomatologie peut ressembler à celle d'un accident vasculaire cérébral.

Pour des raisons de fréquence, seules celles qui constituent les raisons les plus courantes d'appeler une ambulance et de se rendre au cabinet d'un médecin de district ont été mentionnées.

Parmi les autres maladies similaires, on peut citer

les complications du diabète - hypoglycémie et hyperglycémie avec altération de l'état mental et de la conscience
névrite sciatique avec douleurs et tremblements dans les membres inférieurs
la maladie de Ménière caractérisée par des vertiges intenses
névrite du trijumeau (partie faciale), avec paralysie faciale et asymétrie
intoxication par des drogues et des médicaments
désorientation et hallucinations dues à une maladie psychiatrique
autres

solen.sk - Diagnostic et traitement des accidents vasculaires cérébraux
solen.sk - Syndrome d'hyperventilation
neurologiepropraxi.cz - Problèmes vertébrogéniques - mal de dos

Coeur, vaisseaux sanguins et cholestérol,

Bc. Lucia Sýkorová

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